* L’UNITE DANS LE FOYER.

Shalom, Bien-aimées)dans le Seigneur.

Notre Dieu est un Dieu d’équipe et la force d’une équipe c’est l’unité en son sein. Depuis la création, du monde, Dieu a toujours fonctionné et excellé par le travail d’équipe.

Genèse 1 :26

" Faisons l’homme l’homme à notre image et selon notre ressemblance… ".

Pour créer l’homme, Dieu a eu recours à son équipe composée du Père, du Fils et du Saint- Esprit, un trio uni et gagnant.

Chaque couple est une équipe et le secret de sa victoire c’est l’unité.

Aucun ennemi, aucun rapport médical, aucune défaillance physique ne peut résister à un couple qui opère dans l’unité de corps et d’esprit.

Le Seigneur nous assure qu’un en chassera mille et deux en mettraient dix-mille en fuite. L’unité est un principe de force, de puissance et de victoire.

Zacharie et Élisabeth nous en ont fait la démonstration.

Luc 1: 13

" Mais l’ange lui dit : Ne crains point, Zacharie ; car ta prière a été exaucée. Ta femme Élisabeth t’enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jean "

À la naissance de Jean-Baptiste, c’est Élisabeth qui d’abord annonça le nom de l’enfant : Jean.

Elle n’avait en rien essayé de profiter du handicape de son époux pour contredire ni changer ce qu’il avait reçu. Tous deux étaient dans le même esprit, privilégiant la volonté de Dieu aux coutumes et traditions qui voulaient que les enfants fussent nommés d’après leurs ascendants.

Par ailleurs, malgré leurs âges avancés, ils se désiraient encore physiquement et consommaient leur mariage. Zacharie connaissait encore sa femme et c’est aussi cela qui a rendu possible la conception de leur fils.

Ce que le diable réussit très souvent à faire, c’est qu’au bout d’un certain temps d’attente de l’accomplissement de la visitation des entrailles, certains couples se lassent l’un de l’autre et finissent par perdre cette connexion spirituelle et physique, l’éloignement mutuel s’installe et devient un obstacle à l’accomplissement de la Parole de Dieu. Que L’Eternel, Par son Esprit, nous en préserve, au Nom de Jésus.

Bien-aimés, l’unité dans un couple ne se décrète pas. Elle se construit de façon volontaire et intentionnelle. Et la Parole de Dieu nous en donne les clés.

Colossiens 3 :12-14

" Comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés , revêtez-vous d’entrailles de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience. Supportez-vous les uns les autres, et si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement comme Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi "

La clé bien-aimés c’est de toujours prioriser la volonté de Dieu pour notre foyer, de renoncer à ce que l’on veut vraiment pour soi, si cela s’oppose à la volonté de Dieu pour notre mariage.

L’individualisme est indiscutablement un ennemi de l’unité dans le foyer. Tout verbe utilisé dans un foyer, se conjugue à la première personne du pluriel.

Une autre clé c’est de nous engager à servir Dieu autravers de notre conjoint, en prenant soin de bien reconnaître et respecter le dépôt de Dieu en lui, et comptant sur le Saint-Esprit qui effectue les transformations nécessaires en chacun.

Cela nous aidera à éviter les rivalités et les querelles qui attristent gravement le Saint-Esprit et aboutit au désordre.

Efforçons à conserver l’unité et l’esprit de paix dans nos foyers.

C’est une tâche ardue qui nous attend au quotidien, mais le Saint-Esprit est là pour nous y aider.

*Rendons grâce à Dieu pour notre conjoint, ce partenaire de vie que nous avons, notre co-équipier avec lequel nous avons remporté tant de batailles et pour celles que nous rapporterons encore ensemble.

*Dénonçons et consommons par le feu de Dieu tout esprit d’individualisme, d’orgueil, de division, d’impatience, d’offense, d’amertume, que nous avons laissé prospérer dans nos foyers.

*Prions que le Saint-Esprit nous aide à nous revêtir du manteau de la miséricorde, de la bonté, de la douceur et de la patience, afin de les pratiquer à l’égard de nos conjoints.

*Demandons au Saint-Esprit de nous aider à rechercher et pratiquer toujours la volonté de Dieu pour notre foyer, en toute circonstance plaisante ou déplaisante.